Khaled Sulaiman, Tweet Dan son jardin Je me penche vers son corps Son souffle pénètre l'obscurité Et aussi mon coeur Elle s'arrose de nuit Et, s'allonge sur un tapis du plaisir Entre son regard et sa pensé Il n'y a que des invasions Elle envahie les empreintes du jardinier S'endort dans mes bras Les ruches de ses lèvres se calment Elle me serre encore Tu es l'orphelin de l'amour, dit-elle Si, je suis l'orphelin de ses ruches Je m'ennuie dans son absence Assoiffé, l'amour n'arrive jamais au bout. 2011, Kurditsan Tableaux : Maurice Boitel